Le GRENN et les Cahiers
Frédérick Leboyer a publié son livre et son livre « Pour une Naissance sans violence » en 1974. Le G.R.E.N.N., Groupe de Recherches et d’Etudes sur le Nouveau-Né, fondé sous l’impulsion de Bernard This et de Danielle Rapoport, a commencé à se réunir à peu près à la même époque. C’était (et c’est toujours) un groupe de recherche pluridisciplinaire sur la naissance et le nouveau-né, réunissant des accoucheurs, des sages-femmes, des pédiatres, des psychiatres, psychologues et psychanalystes, des éthologues, des sociologues, des spécialistes en physiologie humaine ou animale...
l’Association des Cahiers du Nouveau-Né, émanation du GRENN a été créée plus tard pour permettre une diffusion des recherches les plus intéressantes vers un public plus large. A cette époque de début de l’hyper médicalisation de l’obstétrique, il s’agissait de faire entendre d’autres points de vue, de chercher un équilibre entre sécurité et humanité.
L’obstétrique universitaire française et internationale ne tenait en effet aucun compte de données, pourtant scientifiques mais provenant d’autres spécialités, concernant l’interaction mère-enfant, parents-enfant, l’environnement humain de la naissance, les besoins relationnels, imaginaires, symboliques.
Dans certains cas elle ne tenait même pas compte de données scientifiques concernant pourtant le domaine de la physiologie humaine et adoptait au contraire des comportements inadaptés, pseudo scientifiques comme nous l’avons clairement constaté en élaborant le Cahier n° 3 sur l’allaitement, le Cahier n° 4 sur les positions obstétricales, etc.
La philosophie des « Cahiers » n’a jamais consisté à diffuser vers le public des résultats et des opinions préalablement élaborées. Au contraire, lorsqu’un sujet nous intéressait, nous posait des questions, nous organisions un colloque pluridisciplinaire ou bien nous réunissions des spécialistes variés et reconnus pour nous informer nous-même, pour nous éclairer, nous permettre de comprendre, pour permettre des échanges entres personnes ayant des positions initiales très différentes. Et nous avions envie alors de faire profiter de ces belles moissons un public plus large. Il s’agissait donc avant tout d’une recherche.
Ont notamment participé aux Comité de Rédaction successifs des Cahiers : Anne Bouchart-Aubert, Marie-Claire Busnel, Clotilde Clément-Faraut, Charles Cohen-Salmon, Catherine Dolto, Bernard Fonty, Marianne Herbinet-Baudouin, Etienne Herbinet, Jean-François Husson, Laurent Levaguerèse, Michel Odent, Bernard This.
Françoise Dolto a aimablement participé à plusieurs tables rondes ou colloques.
l’Association des Cahiers du Nouveau-Né, émanation du GRENN a été créée plus tard pour permettre une diffusion des recherches les plus intéressantes vers un public plus large. A cette époque de début de l’hyper médicalisation de l’obstétrique, il s’agissait de faire entendre d’autres points de vue, de chercher un équilibre entre sécurité et humanité.
L’obstétrique universitaire française et internationale ne tenait en effet aucun compte de données, pourtant scientifiques mais provenant d’autres spécialités, concernant l’interaction mère-enfant, parents-enfant, l’environnement humain de la naissance, les besoins relationnels, imaginaires, symboliques.
Dans certains cas elle ne tenait même pas compte de données scientifiques concernant pourtant le domaine de la physiologie humaine et adoptait au contraire des comportements inadaptés, pseudo scientifiques comme nous l’avons clairement constaté en élaborant le Cahier n° 3 sur l’allaitement, le Cahier n° 4 sur les positions obstétricales, etc.
La philosophie des « Cahiers » n’a jamais consisté à diffuser vers le public des résultats et des opinions préalablement élaborées. Au contraire, lorsqu’un sujet nous intéressait, nous posait des questions, nous organisions un colloque pluridisciplinaire ou bien nous réunissions des spécialistes variés et reconnus pour nous informer nous-même, pour nous éclairer, nous permettre de comprendre, pour permettre des échanges entres personnes ayant des positions initiales très différentes. Et nous avions envie alors de faire profiter de ces belles moissons un public plus large. Il s’agissait donc avant tout d’une recherche.
Ont notamment participé aux Comité de Rédaction successifs des Cahiers : Anne Bouchart-Aubert, Marie-Claire Busnel, Clotilde Clément-Faraut, Charles Cohen-Salmon, Catherine Dolto, Bernard Fonty, Marianne Herbinet-Baudouin, Etienne Herbinet, Jean-François Husson, Laurent Levaguerèse, Michel Odent, Bernard This.
Françoise Dolto a aimablement participé à plusieurs tables rondes ou colloques.